04/09/2018
« Hyperlocal et digital, deux opposés qui se recommandent »
Dire que les Franciliens n’ont aucun attachement à leur région est faux. Les Franciliens sont attachés à la vie de quartier, à la relation avec les commerçants du coin, aux événements culturels organisés par les associations locales, aux autres… Leur qualité de vie ici aussi dépend pour beaucoup de ces interactions hyperlocales. Et ça tombe bien : nous sommes des banquiers hyperlocaux avec nos 52 Caisses locales, nos 273 agences de proximité et surtout notre présence digitale.
Proximité : proche des yeux, proche du cœur
Nous consultons notre smartphone en moyenne 221 fois par jour, paradoxalement pour y regarder ce qui est autour de nous. La météo dans le Vexin, le dernier fait d’actualité à Paris, l’info trafic RATP… Nous consultons l’information qui est au plus proche de nous, en hyperlocal. Et les géants du web ne s’y trompent pas : Twitter peaufine la géolocalisation de ses trending topics, Facebook rend plus visible les publications de nos amis que celles des grandes marques, Google multiplient les formations pour permettre aux commerçants locaux de développer leurs activités sur le Web, etc. À chaque fois, l’objectif est de valoriser le local car c’est un fait : la proximité géographique est un gage d’attention de la part du consommateur. S’ajoute à cela la proximité affinitaire. Nous nous détournons de plus en plus des grands médias pour poser notre regard sur l’actualité filtrée par nos proches avec qui nous partageons de nombreux centres intérêts. Je m’informe à travers les recommandations de mes amis (leurs likes sur Facebook) ou de mes collègues (leurs partages sur LinkedIn).
Recommandation : au nom du pair
Nous avons davantage confiance en nos proches qu’aux institutions, ainsi nous sommes davantage influencés dans nos actes d’achat par la recommandation ou l’avertissement d’un proche. Le commentaire du consommateur a remplacé le conseil de l’expert. Amazon l’a bien compris : l’avis du consommateur motive l’acte d’achat. Il nous invite donc à attribuer des étoiles aux produits, noter les commentaires des autres acheteurs pour ensuite valoriser le plus positif ET le plus critique, etc. Car oui, nous accordons plus facilement notre confiance à celui qui nous ressemble qu’à l’expert. On doute de lui. La preuve : le site deuxiemeavis.fr qui permet aux malades d’avoir un second avis médical. Même le médecin généraliste est remis en question ! Ceci pour vous démontrer que si vous voulez de nouveaux clients, vous devez particulièrement satisfaire vos clients actuels et être vigilant dans vos postures : l’expertise est là pour guider le client dans ses choix, et non pour les dicter.
Relation / hyperlocal : physique, digitale… surtout humaine
Aujourd’hui, le premier levier de conquête de nouveaux clients est la satisfaction de nos clients. Ce n’est certes pas le chemin le plus facile : avoir des clients heureux qui parlent positivement de vous à leurs proches sans les acheter par un programme de parrainage hyperlocal (ce qui est de plus en plus rare !).
Nous voulons apporter le meilleur niveau de service à nos clients et être avec eux là où ils sont.
Pourtant, c’est notre ambition au Crédit Agricole d’Ile-de-France, devenir la banque préférée des Franciliens pour accélérer notre développement. Nous voulons apporter le meilleur niveau de service à nos clients et être avec eux là où ils sont : grâce à nos 273 agences rénovées et grâce au digital. Téléphone, emails, visio et bientôtmessagerie instantanée, la présence d’un client dans son agence n’est plus seulement physique.
Au Crédit Agricole d’Ile-de-France, nous ne sommes pas seulement Franciliens. Nous sommes aussi Parisiens, Isséens, Lilasiens, Meulanais, Corbeil-Essonnois… Nous avons pour obsession la satisfaction de nos clients et un véritable vœu de proximité (hyperlocal) avec eux dans tous leurs moments de vie. Je souhaite que chaque Francilien se sente libre d’entrer en contact avec nous par le canal de son choix. 100% humain et 100% digital, nous sommes en Île-de-France une banque à portée de clic. Et finalement quand on y réfléchit, nos plus belles histoires sont les recommandations de nos clients.